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Deuxième partie de la montée, à découvert (au sens il n'y a plus d'arbres, car on est toujours dans les nuages). (image agrandie en cliquant dessus)
Et comme il y a quelques années dans la réserve du Néouvielle, on passe au-dessus des nuages pour déboucher en plein soleil et grand ciel bleu.
C'est tout de même plus agréable de laisser les nuages derrière soi.
Il est midi, on se pose au bord du torrent pour le déjeuner.
Des guêpes nous survolaient, sûrement à cause du sucre. Mais en fait, non, on les dérangeait car on a posé nos affaire sur leur nid, sur le rocher ! Heureusement, sans conséquence grave.
Remontée tranquille le long du torrent, en passant à côté de chardons bleus bien pétants.
Et après 6 heures de marche (pauses comprises), on arrive au col d'Ayous à 2185 mètres. Mais on n'est pas seul ! (image agrandie en cliquant dessus)
De l'autre côté, une vue imparable sur le pic du Midi d'Ossau. Mais la vache est plus intéressée par nous.
Voilà ce que l'on peut voir depuis le col (cliquez sur l'image pour avoir la taille réelle). Ça claque, non ?
On pose fièrement devant le pic (qui culmine à 2 884 mètres).
Descente vers le refuge en une petite demie heure, et une vue imparable (image agrandie en cliquant dessus).
Nous sommes ici à la limite du PNP (parc national des Pyrénées, symbolisé par un isard).
Arrivés au lac (image agrandie en cliquant dessus), en repart vers le refuge (en évitant soigneusement le cadavre d'une jument).
On mitraille, on mitraille, et on se pose en fin d'après-midi en léger surplomb du lac (images agrandies en cliquant dessus).
Quand je vous disais qu'on se reposait !
Une très belle étape, bien variée, sans difficulté particulière.
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Découvrons ensemble le refuge d'Ayous, avec, comme souvent : un grand dortoir en haut, les salles communes au rez-de-chaussée, les sanitaires en bas (on dormira dans le dortoir d'hiver).
Évidemment, depuis le refuge (et sa terrasse), on a une vue imprenable sur le lac Gentau et le pic du Midi d'Ossau (image agrandie en cliquant dessus).
Rentrons maintenant dans le refuge. Comme l'indique ce panneau en bois, on est toujours dans le parc.
On commence d'abord par enlever ses chaussures.
Puis on place son sac dans un casier, ne prenant que les affaires pour la nuit.
Voici le réfectoire (en deux photos), bruyant à cause d'une mauvaise insonorisation lors de la rénovation. Et les Espagnols ne savent pas baisser le ton. En plus, on est très serré (le refuge était plein).
L'endroit où l'on a dormi.
Puis deux vues du lac : au crépuscule, et à l'aurore.
Cela n'annonce pas vraiment une belle journée !
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Distance approximative (km) 9 Altitude de départ (m) 1982 Altitude d'arrivée (m) 2034 Point culminant (m) 2194 Dénivelé positif total (m) 744 Durée estimée 5 h Durée réelle (pauses incluses) 5 h Pour une fois, on quitte le GR 10, qui descend directement vers Gabas via le lac de Bious-Artigues, pour emprunter un autre GR, rester dans le parc et faire la tour du pic du Midi d'Ossau.
Comme vous pouvez le voir sur cette vue aérienne, on passera à côté de quelques lacs. cela devrait être sympa.
Et puis, le dénivelé est moins fort que la veille, même s'il faut bien descendre dans la vallée.
Commençons justement par évoquer cette descente, dont voici le parcours :
Eh oui, aujourd'hui les nuages ne vont pas nous lâcher, et on conservera la cape de pluie. Heureusement, il n'y a pas eu de pluie continuelle.
Quelques lueurs sur le lac Gentau au moment de partir, et on monte dans les nuages pour rejoindre le lac Bersau, 100 mètres (en altitude) plus haut.
À côté de ces petits lacs se trouve la captation du refuge d'Ayous.
Nous voici arrivé rapidement au lac Bersau, dont on ne voit même pas le bout ! (images ci-dessus agrandies an cliquant dessus)
Je fais le fier, en profitant d'une légère accalmie.
On longe le lac Bersau, puis passons un petit col avant de descendre au lac Casterau (en recroisant des vaches, que la pluie indiffère).
De là, on a une belle vue, légèrement ensoleillée (et agrandie en cliquant sur l'image) de la vallée du Bious. Le pic du Midi d'Ossau est droit devant !
Le seule moment où on devinera le pic.
L'arrivée dans la plaine, à travers les gouttes, et le gave serpentant.
Faire ce détour permet de voir ces gorges, bien masqués par les sapins.
Oh, des plages de soleil fugaces !
On prend ensuite la piste avant de monter vers Pombie. Il faut compter environ 2 heures de marche pour rejoindre le carrefour.
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