-
Jour de détente (au sens qu'on ne marche pas) afin de prendre le petit train d'Artouste (j'y reviens dans le prochain article). Pour s'y rendre, il faut prendre le télécabine de la station de ski éponyme, depuis le lac de Fabrèges.
On a bien sûr une vue panoramique de là-haut (à environ 2000 mètres d'altitude) sur le lac de Fabrèges (au niveau plutôt bas).
Et qu'est-ce qui se détache ? Le pic du Midi d'Ossau bien sûr ! Derrière lui se trouvent les lacs vus les jours précédents, donc on regarde vers le sud. (image agrandie si vous cliquez dessus)
Le pic en gros plan.
votre commentaire -
Comme le montre cette vue Google Earth (que vous pouvez agrandir), le train a été construit il y a 85 ans pour construire le barrage du lac d'Artouste. Une fois celui-ci terminé, le train a été reconverti en attraction touristique. Et cela vaut vraiment le coup. Une dizaine de kilomètre, une petite heure de trajet, et de magnifiques paysages.
La gare est juste à côté du télécabine, et les train sont d'un rouge et jaune bien pétant. Surtout en cette très belle journée.
Deux places par banquette, mais il y a suffisamment peu de monde pour qu'on en réquisitionne chacun une.
Et on perd, en changeant de côté, en traversant le tunnel de l'Ours.
Juste la place pour le train, on reste bien sagement à l'intérieur !
Il y a de nombreux arrêts sur la ligne, pour faire passer le train dans les deux sens (il n'y a qu'une voie). L'occasion de prendre les locomotives en photo.
Voici une des rares marmottes (en fait pour moi la seule) vues pendant cette semaine pyrénéenne.
Vous voyez ci-dessus l'un de ces arrêts, avant le passage du tunnel.
Et maintenant, admirez le cadre qui s'offre à nous ! (image ci-dessus agrandie en cliquant sur elle)
L'Arcizette : le GR 10 passe au pieds des "coulées" que vous distinguez, donc on passera là demain (direction Gourette) !
Le pic d'Artouste est un peu le but de la ballade : on ne grimpe pas dessus, mais on sait que le lac est à ses pieds !
Trois photos de perspective avec le train.
En bas de la vallée passe le Soussouéou : zoom sur une cascade l'alimentant, juste à côté d'une bergerie.
Le pic d'Ormiélas : un lac est à son pied, mais au-dessus de la voie, donc non visible.
On approche tout doucement du terminus (on distingue le barrage).
Et voici la gare terminus, en contrebas du barrage d'Artouste. Il faut maintenant monter sur un sentier bien aménagé pendant 15 minutes pour atteindre le lac.
Vue vers la vallée du Soussouéou (agrandie en cliquant sur l'image).
On reste environ une heure au lac d'Artouste avant de repartir.
Sur le chemin du retour, on prend finalement peu de photos (redite de l'aller ? épuisement ?). Voici en tout cas une vue de la vallée du Soussouéou (on reconnaît la cascade vue précédemment).
La mare du Séous (presque à sec).
On revient ensuite à notre point de départ (la gare du télécabine). Un pot en terrasse, et on descend.
votre commentaire -
En montant au lac, on a une belle vision sur l'arrivée du petit train et le début du chemin de montée :
Et on arrive ici : les bâtiments industriels à gauche, le lac d'Artouste au fond (on peut le longer pour aller au refuge d'Arrémoulit). (image agrandie en cliquant dessus)
Encore un petit lac, très pur quand on voit les reflets.
Derrière les bâtiments, on arrive au barrage, construit en gradin (moins impressionnant qu'à Bious-Artigues). On aperçoit derrière d'autres construction, et un sentier permet de partir en randonnée.
Une vue (que vous pouvez agrandir) du barrage.
Petite vue du lac. On y resterait longtemps, non ? (image agrandie en cliquant dessus)
Au fond, le pic d'Artouste.
Un dernier panorama (agrandissable) et on peut redescendre prendre le train du retour.
Une dernière soirée à l'appartement de Gabas, et on se couche tôt. Demain, c'est une étape de 9 heures de marche qui nous attend !
votre commentaire