• Parcours (forêt d'Iraty)

    Maintenant, le parcours va être un peu plus reposant, avec des descentes à l'ombre jusqu'au col Bagargiak.

    On passe au milieu des myrtilliers, des fougères, et on es déjà les prémisses de la forêt d'Iraty.

    Forêt d'Iraty

    Petite descente sèche et nous voilà au milieu de la forêt, et l'on croise plus de monde qui monte depuis le chalet Pédro jusqu'à Occabé.

    Forêt d'Iraty

     

    La descente sur le chalet (un refuge avec sauna et spa...) se fait par de larges traversées et autres virages serrés. On remonte ensuite la route pour arriver à un lac de retenue.

    Au bord du lac

    On se pose auprès de celui-ci pour manger bien tranquillement vers 12h15. Quelques vaches passeront à côté de nous, dérangées peut-être par notre présence, et l'une d'elles était sur le point de charger d'autres personnes sur la berge.

    On profite vraiment du beau temps, et prenons même le dessert dans un café.

     

    Lac

    Mais il faut repartir, car il est déjà 14h30. Une petite montée au-dessus du lac, et on s'enfonce à nouveau dans la forêt. C'est là qu'on retrouve Alain, qui était parti 1 heure plus tôt que nous le matin, et qui est bien fatigué (souvenez-vous de son erreur de parcours).

     

    Forêt d'Iraty

    Il nous accompagnera alors jusqu'au col Bagargiak et son ensemble d'hébergement.

    On retraverse la route menant au col, en passant à côté d'un petit lac, puis une nouvelle grimpette dans la forêt.

     

    Poulain

    Quand on en sort, on commence à être bien épuisé, et les nuages descendent. Je prends en photo ce poulain basque et on atteint les premiers chalets d'Iraty vers 16h30.

    A l'accueil de l'ensemble hôtelier,les gérants nous confie la clé de notre chambre au refuge de randonneurs (cf. photo ci-dessous), et un jeton pour la douche.

    Refuge

    Vous constatez qu'on est vraiment dans les nuages, donc pour la vue du col on repassera (sachez que, depuis l'accueil, il faut encore marcher 10 minutes pour atteindre le refuge).

    Marion et Marie-Christine ont acheté des jetons de lavage, on en profite donc pour laver quelques vêtements.

    Le lieu est en gestion libre pour les randonneurs, on achète alors à l'épicerie notre pique-nique et notre petit-déjeuner du lendemain.

     

    Au restaurant

    Pour ce dernier, on aurait pu s'en passer, car le restaurant proposait le ptidej. Tant pis pour nous. On aura déjà bien profité du lieu pour déguster cette assiette du randonneur (jambon de pays, poulet basquaise, garbure, frites maison, fromage de brebis), pris dans un superbe cadre.

    Retour dans notre chambrée, au chaud, pour dormi, avant une nouvelle grande étape.


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  • Distance approximative (km) 16
    Altitude de départ (m) 1327
    Altitude d'arrivée (m) 380
    Point culminant (m) 1423
    Dénivelé positif total (m) 225
    Durée estimée 6 h 45
    Durée réelle (pauses incluses) 7 h 30

     

    Parcours

     

    Parcours (départ du col Bagargiak)

    Encore une grande journée de marche, mais cette fois-ci par un sentier de crête, avant de faire une descente bien pentue sur Logibar. Au final, o baisse tout de même de 1000 mètres. Cette étape consiste à contourner la vallée de Larrau.

    Profil

     

    Panneau

    Au col Bagargiak, on retrouve ce panneau sur le GR 10. Je suis toujours à gauche, dans la partie rouge, et onn voit qu'on commence à monter en altitude (environ 1500m).

    Dans le brouillard

    C'est une journée maussade qui nous attend, car on part dans les nuages. Et si  ceux-ci se lèveront un peu pendant la journée, le ciel sera toujours voilé en partie plus ou moins importante. Mais au moins on n'a pas eu de pluie.

    Comme d'habitude, nous partons tous les 4 (Marion, marie-Christine, mon frère et moi) tôt (8h15) et on prend, après quelques minutes de marche sur route, ce sentier de crête pour rejoindre un col au pied du pic des Escaliers.

     

    Sur le GR

    Plus ça va, moins on y voit. Suffisamment tout de même pour bien suivre le sentier.

     

    Au point culminant

    Quand on arrive au col, après 45 minutes de marche, le temps se lève, et on sait que maintenant on ne montera plus, d'où ces mines réjouies.

    Palombières

    Un sentier de crête pour rejoindre une route, et maintenant on va longer la vallée de Larrau. Au moment de quitter la route, vers 9h45, on passe devant ces postes de chasse, plus ou moins entretenus, qui sont utilisés à l'automne lors de la chasse à la palombe.

     

    Avant les difficultés

    Vous voyez, c'est lumineux, mais sans vraiment profiter du paysage. Le sentier est tout de même très agréable à suivre. Jusqu'à un certain point.

    Passé la bergerie (que l'on devine sur la photo précédente), il n'y a plus de balisage, et plus de sentier clairement marqué, d'où une progression très difficile. C'est à cet endroit qu'on retrouvera Alain, perdu (surtout que sa carte et son topo-guide avaient quitté sa ceinture, mais ils ont été ramassés par Marion). On avance prudemment, en examinant bien la carte et le paysage, pour enfin, à la sortie d'un petit bois, retrouver le sentier balisé.Je vous préviens, sur cette partie-ci, vous marchez au milieu des ronces.

     

    Après les difficultés

    On a bien mérité une pause casse-croûte (nous sommes partis depuis 3 heures).

     

    Fleur

    Une gentiane croisée en chemin.

     

    Vallée de Larrau

    Passage au milieu des fougères, toujours en surplomb de la vallée.

     

    Déjeuner

    Sur les coups de 12h30, on se pose pour déjeuner tranquillement, et discuter séries télévisées.


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  • Parcours (descente sur Logibar)

    Après déjeuner, vers 13h, nous partons pour la dernière portion, d'abord relativement plate, avant cette longue descente sur l'auberge de Logibar.

     

    Prémice au lendemain

    Quelques minutes après notre départ, comme indiqué par le topo-guide, voici un passage particulièrement boueux.

     

    Vallée de Larrau

    Le sentier devient ensuite très agréable, la température est douce, mais le ciel est toujours aussi couvert.

     

    Chemin

    J'aime bien ce genre de photos, quand le sentier devient un sentier creux, se faufilant entre les murs et les arbres.

     

    Chemin

    Après une heure de marche, donc vers 14h, la descente sur Logibar commence enfin. Le lieu de repos se trouve vraiment dans un trou, et le descente devient de plus en plus forte.

     

    Larrau

    Le village de Larrau.

     

    On étudie la carte

    Chacun allant à son propre rythme, mon frère s'est arrêté pour étudier la carte. Sachez que pour le lendemain, deux possibilités s'offrent au départ pour rejoindre Sainte-Engrâce : prendre le chemin à droite qui mène à la passerelle d'Holzarté, et monter sur la crête à gauche, dixit le topo-guide du GR. Dans les deux cas, ça va bien grimper.

     

    Sentier

    Toujours les chemins creux.

    Je dois avouer que je commence à fatiguer, et éviter les rochers ne fait pas toujours du bien aux jambes. Je suis donc ravi de retrouver un peu de route pour finir.

    Arrivée à l'auberge

    Certes, la portion de route est assez longue (20 bonnes minutes), mais au oins on sait qu'on arrive bientôt.

    Voici donc l'auberge de Logibar, atteinte un peu avant 16h. La partie gîte est sur la droite, où les hommes vont dormir, Marion et Marie-Christine ayant réservé une chambre à l'auberge.

     

    Ruisseau

    Après l'installation, la douche, et un pot, on se promène autour de l'auberge et du torrent, où Alain nous explique ses talents de pêcheur.

     

    Panneaux

    Eh oui, le lendemain, on part par là !

     Borne

    Et pour rester sur les indications, voici une borne kilométrique apposée à l'auberge, donc assez peu visible depuis la route.


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