-
Par deepdelver le 3 Janvier 2024 à 12:00
La vue depuis mon banc de repos/repas, où j'aperçois quelques maisons de Loudenvielle.
Après 1 heure de pose, il me faut bien repartir : la journée est annoncée chaude, et il y encore plus de 300 mètres de dénivelé jusqu'à Germ. Je risque de souffrir, car il est presque 14h.
Je déambule dans les rues de Loudenvielle (où l'aspect village est plus préservé qu'à Saint-Lary). Et voici un bel outil de travail équestre. Il faut dire que, une fois qu'on en a vu un, on en voit partout !
Comme le GR ne passe pas au pied du lac de Génos-Loudenvielle, il me faut faire un détour d'environ un quart d'heure (en passant par un parc peu ombragé) pour atteindre ses rives. Cela aurait été dommage de ne pas le faire. (image cliquable, bien sûr)
Le château de Génos est par contre trop loin pour faire un détour !
La Neste du Louron, bien large comparativement à celle de la vallée d'Aure.
En revenant sur le GR, on passe à côté de l'église. Je vous offre un peu de lecture (en cliquant sur l'image) sur son histoire.
L'église, avec un clocher-porche, et un intérieur bien coloré.
C'est parti pour la dernière grimpette, par un chemin qui a une belle histoire, que je vous laisse découvrir ci-dessous (en cliquant, encore une fois, sur l'image).
Une dernière vue sur Loudenvielle, avant d'entrer en forêt.
Bien qu'étant à l'ombre (et heureusement, avec le chaleur !), le chemin grimpe fortement, avec pas mal de lacets. Je souffre un peu (normal, c'est mon premier jour).
Et parfois, le chemin se rétrécit en passant entre quelques rochers.
Vue sur le bout de la vallée du Louron.
Et j'arrive enfin à Germ, sur les coups de 15h.
Bon, mon lieu d'hébergement est indiqué, je ne devrais pas me perdre !
votre commentaire -
Par deepdelver le 10 Janvier 2024 à 14:39
Je vous conseille de lire ces panneaux informatifs sur Germ avant de continuer à lire cet article... en cliquant sur les images !
Si je n'ai pas pu entrer dans l'église, j'en ai au moins fait le tour (du moins, je suis entré dans le cimetière).
Le lavoir du village, en pente.
À la sortie du village, le GR passe à côté d'une scie hydraulique restaurée. Voici son histoire (en cliquant sur l'image).
Comme je la voyais en passant, et que l'étape était relativement longue, je ne me suis pas arrêté longtemps pour l'étudier.
Après le village, passons au centre d'hébergement qui m'accueillait.
L'accès depuis le parking à l'entrée du village.
La jardin, accueillant et le bâtiment principal derrière.
Un porche menant aux chambres.
Il y a un petit café attenant, avec une décoration surprenante, comme cette ancienne machine à boucher des bouteilles de limonade.
Mon goûter avec une bonne bière et une bonne boule de citron.
La salle de détente, où je feuilletais quelques revues en attendant le dîner.
La réfectoire. J'y aurai passé le dîner à discuter avec un groupe de cyclistes faisant une excursion de quelques jours, où de parler de problème de genou avec une randonneuse.
Entrons dans le bâtiment des chambres, où mon dortoir est tout en haut.
Je dormirai derrière le rideau (pour avoir de la place pour bouger, j'étais le seul occupant du dortoir).
Le décor du dortoir.
La salle de bains attenante.
La crépuscule tombe (ah oui, il y a aussi une piscine !).
Bonne nuit !
votre commentaire -
Par deepdelver le 17 Janvier 2024 à 12:00
Nouvelle étape d'environ 5 heures (pauses comprises) pour atteindre la vallée d'Oô.
Une longue montée, une longue descente, et je suis arrivé.
Une durée de marche identique à la veille, mais comme le dénivelé est plus important, la longueur est plus courte de 4 kilomètres.
Je quitte Germ (ci-dessous, où vous pouvez repérer la scie hydraulique évoquée la semaine dernière) par une route...
...qui devient rapidement une piste. Et je suis "pressé" car j'ai perdu au moins 20 minutes à chercher mon bob, alors que la journée est ensoleillé et que je pars plein est. Je ne l'ai pas retrouvé, et il me fallait bien partir. Au moins, j'ai mes lunettes de soleil.
Il s'avèrera que j'ai mis mon bob à laver avec les draps, et le personnel de mon hébergement à Germ me l'enverra gentiment par la poste.
Lorsque je prends ce panorama (cliquable) à la sortie de Germ, il est presque 9 heures.
Encore quelques minutes, et je peux entrevoir une dernière fois le lac de Génos-Loudenvielle.
Le fond de la vallée du Louron, mais je vais partir à gauche, plein est.
Je vais remonter le val d'Aube, le Couret d'Esquierry étant tout au fond.
Je rejoins la piste à un petit barrage...
...et, au-dessus de celui-ci, cette petite retenue pourrait inciter à se poser, après un peu plus d'une heure de marche.
Je retrouve dans la vallée quelques digitales.
Et le berger prévient le randonneur, car il y a en effet beaucoup de vaches un peu plus loin.
Un torrent, la cabane du berge d'Ourtiga, la montagne, en clair !
Voilà le troupeau de vaches à traverser, et elles resteront placides.
Après les vaches rousses, les vaches blanches derrière la cabane.
La torrent d'Aube, au fond de la vallée, à l'entrée d'un petit cirque.
La montée vers le col est un peu plus raide, au soleil. En me retournant, quelques masses nuageuses remontent.
Ça, c'est du balisage !
Et voilà, j'arrive au col, sur les coups de 11h30, presque 3 heures après mon départ de Germ.
votre commentaire
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique