• Me voici donc de retour au refuge de Bastan (qu'on devine dans les arbres ci-dessous).

    Esplanade du refuge

     

    Après avoir confirmé ma réservation, déjeuné à l'ombre et installé mes affaires, je vais me poser auprès du lac en contrebas.

    Les lacs du milieu de Bastan

    Il n'est en effet pas possible de prendre une douche à cause d'un problème de débit, mais avec le temps qu'il fait, c'est bine plus appréciable de toiletter dans le lac (dommage que je n'avais pas mon maillot !).

     

    Je profite du lac

    Un bel endroit pour se poser, non ?

    Le pied !

     

    Panorama du lac du milieu de Bastan

    Un petit panorama (cliquable bien sûr), où les nuages ne seront que de passage.

     

    Depuis la terrase du refuge

    Puis je remonte au refuge, le soir arrivant et me préparant à dîner.

     

    Derrière le refuge

    Le refuge à droite, la grande tente marabout à gauche et une cabane familiale dans les pins en face (oui, il faut parfois deviner !).

     

    Dop zone

    La drop zone.

     

    Coin toilettes

    Au fond, le col de Bastanet et au premier plan, le lavabo.

     

    Le refuge de Bastan

    La façade du refuge. Cette fois-ci, j'aurai dormi dans le dortoir... en prenant systématiquement l'échelle de secours, bien étroite !

     

    Le réfectoire

    Le réfectoire, transformé en salle de couchage la nuit.

     

    Entrée du refuge

    L'entrée, avec l'échelle droite pour accéder au dortoir. Comme je ne la trouvais pas forcément pratique, je suis donc plutôt monté par l'extérieur.

     

    Couloir du dortoir

    En haut de l'échelle, le dortoir avec ses bas-flancs, scindé en deux pièces.

     

    Vue sur la terrasse

    La vue depuis l'issue de secours.

     

    En attente de la nuit

    Et voilà, après le repas, j'attends tranquillement que le soir tombe. Par la suite, plutôt que de rester sur ce matelas calé derrière la porte, et comme il y a de la place, je me replacerai sur les grands matelas du bas-flanc.


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  • Le parcours

    Aujourd'hui, étape plus courte, mais qui consiste en une longue descente pour rejoindre Vielle-Aure (image cliquable pour mieux vous rendre compte)

    Le profil

    Je commencerai d'abord par narrer la partie quasi-plate jusqu'au col de Portet. La semaine prochaine, ce sera les 1400 mètres de dénivelé négatif jusqu'à Vielle-Aure.

     

    Lever de soleil

    La vue est belle depuis mon balcon du refuge, non ?

     

    En partant du refuge

    Comme l'étape est plus courte, je pars tranquillement à 8h30 du refuge, le soleil se levant à peine. (image cliquable)

     

    Grand lac du milieu de Bastan

    On passe d'abord devant le lac du milieu de Bastan.

     

    Les laquettes

    Puis le chemin longe quelques laquettes.

     

    Bord de lac

    La poésie de la montagne en une photo...

     

    Lac inférieur de Bastan

    Le lac inférieur de Bastan. (image cliquable)

    Lac inférieur de Bastan

    L'eau y est très claire.

     

    Après les lacs

    Et voilà, je m'apprête à quitter la variante du GR10C, pour retrouver le GR10.

     

    Retour sur le GR

    Courage, encore 4 heures 45 minutes de marche !

     

    Lac de l'Oule

    Le sentier en surplomb permet de longer le lac de l'Oule.

     

    Vers la vallée

    En voici une belle couverture nuageuse !

     

    Vaches et nuages

    Je vais passer dans la vallée d'Espiaube pour rejoindre le col de Portet.

     

    Vallée vers le col de Portet

    Un paysage bien désertique. Il faut dire que cette vallée est un domaine skiable.

    Domaine skiable d'Esoiaube

     

    Pic Méchant

     

    Col de Portet

    On suit la ligne du téléphérique pour rejoindre le col.

    Panorama du col de Portet

    La vue y est superbe, mais presque inquiétante : je vais maintenant descendre dans cette mer de nuages ! (image cliquable)

     

    Col de Portet

    Le col de Portet, au début de la descente.


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  • Entrée dans les nuages

    À partir du moment où j'entre dans les nuages, je vais bien souffrir, pendant 4 heures. Pourquoi ? Non pas à cause de l'humidité ambiante (encore que), mais surtout à cause des mes grosses ampoules au pied gauche. Mais pour le moment, cela est encore supportable, car le sentier ressemble plus à un faux-plat descendant. Il faut par contre bien faire attention à bien suivre la piste, et ne pas prendre une trace vachère.

     

    Dernier rayon de soleil

    Une dernière vue sur le col de Portet avant de marcher pendant plus de deux heures au frais.

     

    Vaches brunes dans les nuages

    En tout cas, cette couverture nuageuse (grosso mode entre 1600 et 2100 mètres) ne dérange pas les troupeaux que je croise.

    Vaches blanches dans lles nuages

     

    Au Pla du Castillon

    Bifurquons à droite, pour quitter le plateau en descendre à flanc de coteau.

     

    En longeant la clôture

    On longe une barrière au milieu des genêts. Et mon rythme est déjà moins soutenu, car mon genou gauche commence à picoter. Avec le poids du sac (trop chargé), ça devient pénible.

    Petite pause

    Un rocher bienvenu pour faire une pause (et enlever des petits cailloux dans la chaussure).

     

    Sortie des nuages (vallée de l'Aure)

    Et voilà, je suis sorti sous les nuages, et voit la vallée d'Aure (Saint-Lary-Soulan est à droite). Il ne me reste plus qu'à descendre sur Vielle-Aure. Et ce relatif replat fait du bien à mon genou.

     

    Entrée dans la forêt

    Et pour finir, c'est une descente en forêt qui m'attend.

     

    La descente

    Par contre, c'est un descente très sèche, avec des successions de virages "épingle à cheveu" que je découvre. plus d'une heure de descente, presque 600 mètres de dénivelé : mon genou a fortement trinqué.

    Le sentier en forêt

     

    Le sentier en forêt

    Ça n'a pas l'air sur ces photos, mais la descente très raide me fait faire de tout petit pas.

     

    Vallée de l'Aure

    Je vais traverser cette route, et j'ai donc alors une belle vue sur la vallée d'Aure. (image cliquable)

    Accès à la mine

    Et pour finir, un escalier bien casse-pattes pour accéder à des mines.

    Le chemin redevient plat en entrant dans Vielle-Aure, mais j'ai pris la décision de m'arrêter là, souffrant trop de mon impréparation. Tant pis, je finirai les Pyrénées Centrales se termineront plus tard.


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