-
On franchit la voie ferrée, et on suit le balisage pour redescendre vers Sare. Une descente rapide au milieu des fougères, en contrebas de la voie ferrée.
On atteint alors cette bergerie (la ligne sombre au centre de la photo), pour trouver un peu de fraîcheur. On en aura un peu plus par lasuite, le sentier passant en sous-bois. Cette arrivée me fait beaucoup penser aux bergeries corses, que j'ai fait en 2006.
Retour ons-nous, et on peut encore voir les trains menant au sommet de la Rhune.
Le chemin est plus large, à l'ombre des arbres.
Il est midi, et on rejoint une route nous menanat au centre de Sare, en plein milieu de la randonnée du jour.
Zoom sur l'église, et on devine les gradins et le fronton du terrain de pelote basque. Derrière la haie bien taillée se trouve une piscine de plein air, et on entend les enfants s'ébattre avec bonheur. Alors que l'on sue sang et eau, ça fait un peu mal.
Encore et toujours ces maisons basques, on ne s'en lasse pas.
Le terrain de sport, côté fronton, puis côté montagne.
L'église de Sare, aux nombreuses fenêtres.
On achète un gâteau basque sur la place centrale, et on se pose à l'ombre pour déjeuner tranquillement. La dernière partie sera moins agréable (beaucoup de route, en plein après-midi).
votre commentaire -
Après cette bonne pose à mi-chemin, nous repartons donc vers Aïnhoa, but de la balade aujourd'hui. Il est 13h30 et il commence à faire bien chaud.
Heureusement, le départ de Sare est très agréable, car nous empruntons la Voie médiévale, un chemin empierré, qui mène à un pont romain, coupe à travers route et permet de rester à l'ombre.
Quelques minutes plus tard, la Voie devient un escalier, ponctué d'oratoires et de nombreux bancs pour se reposer. On ne prendra pas cette dernière option, il y a encore du chemin tout de même !
Et toujours le charme des maisons et barrières basques, sur fond de collines verdoyantes...
Le fameux pont romain, dans un coin idéal pour pique-niquer.
A partir de ce point, le chemin sera beaucoup moins appréciable : certes, on longe la frontière franco-espagnole (voyez la borne ci-dessous), mais ce n'est que de la route pendant plus d'une heure. C'est également relativement plat, on n'a donc pas vraiment la sensation d'avancer, et c'est très pénible en plein après-midi estival.
Toutefois, l'arrivée à Aïnhoa, à partir du pont du Diable (plus de 2 heures après le départ de Sare), se fait en longeant la Nivelle, donc en sous-bois. Et arriver à la fraîche permet de terminer sur une note plus joyeuse.
Enfin, sur les coups de 17h, nous arrivons à Aïnhoa ! Nous trouvons rapidement le gîte qui nous hébergera (il n'y a qu'une rue principale !), mais aurons une mauvaise surprise : le gérant n'avait pas compris qu'ion souhaitait avoir le dîner et un pique-nique pour le lendemain. Obligés de nosu débrouiller nous ironts dîner, bien malgré nous, au gault & Millau du coin, et achèterons le lendemain nous sansdwichs à l'épicerie du village. Méfiez-vous donc si vous n'avez pas prévu de repas !
Par contre, la maison, avec ses poutres apparentes, son esclaier en bois et ses larges chambres, et très accueillante, comme vous pouvez le voir sur les photos ci-dessous.
votre commentaire -
Quelques photos du village d'Aïnhoa, classé "plus beau village de France".
Le famaux piment en train de sécher.
Le lavoir.
L'église et le cimetière basque.
Pour connaître la signification de ces stèles, cliquez ici.
Et pour terminer, les plats servis dans notre très bon restaurant.
votre commentaire