• Parcours de la deuxième partie

    Deuxième partie, avec une longue montée jusqu'au col de l'Ouillat. Pour être plus exact, il y a 250 mètre à gravir dès le départ du Perthus jusqu'au col de la Comtesse. Ensuite, un sentier, puis une piste en légère montée jusqu'à Saint-Martin d'Albère (on passe à côté du hameau). Enfin, 300 mètre à monter jusqu'au col. Plus ou moins une heure pour chaque portion (vue agrandie en cliquant sur l'image).

     

    Au Perthus

    Le kilomètre et demi jusqu'au col, c'est une sacrée montée !

     

    Fort de Bellegarde

    On passe rapidement en Espagne pour prendre une piste. On monte ainsi au-dessus de l'autoroute, avec une belle vue sur le fort de Bellegarde.

     

    Le Perthus

    Dernière vue sur le Perthus et le fort de Bellegarde (panorama en taille réelle en cliquant sur l'image).

     

    Petit col espagnol

    Une belle montée, jusqu'à rejoindre ce petit col. D'ailleurs, je me suis rendu compte que j'avais quitté le GR, manquant une bifurcation. Mais la fatigue, la pente forte, cela se comprend. Mais je vous rassure, si vous manquez aussi cette séparation, continuez sur la piste, vous retrouverez le GR à cet endroit.

     

    Sous le col de la Comtesse

    On emprunte alors un sentier, qui monte en forêt tout droit jusqu'au col de la Comtesse, atteint à cette borne frontière.

     

    Col de la Comtesse

    Retour en France donc, pour 90 minutes de marche tranquille.

     

    Ruisseau

    Après avoir suivi une longue piste forestière, et encaissé quelques gouttes de pluie, j'atteins enfin ce ruisseau, qui m'indique que la dernière partie de l'étape approche. Encore 300 mètres à grimper donc, pas la plus évidente en ce milieu d'après-midi.

     

    Dernière montée

    La montée, à flanc de colline, se fait au milieu des genêts. Sentier bien étroit parfois, mais il y a un très bon balisage.

     

    En approche

    Cette pancarte indique la fin de la montée, on tourne à gauche par marcher un petit quart d'heure jusqu'au refuge.

     

    En haut de la montée

    Vu sur le sentier que je viens de prendre, et la vallée voilée.

    J'arrive au refuge un peu avant 17h, et je prends une douche méritée. Et le soir, il pleut !


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  • Au col de l'Ouillat donc se situe le chalet de l'Albère.

    Chalet de l'Albère

    C'est un restaurant panoramique qui sert également de refuge aux randonneurs. C'est le dernier refuge gardé avant d'atteindre la Méditerranée.

     

    Salle du restaurant

    Un refuge tout en bois, et une salle de restaurant très accueillante. En plus, le personnel permet qu'on utilise la tireuse pour remplir les gourdes. (Image agrandie en cliquant dessus)

     

    Vue depuis la terrasse

    On n'a pas pu en profiter le soir, à cause du mauvais temps. Par contre, le matin au réveil, la vue sur les Pyrénées est magnifique. Le Canigou est caché par les arbres, mais en se décalant, en cas de ciel bien dégagé, on le voit. (Panorama agrandi en cliquant sur l'image)

     

    Fort de Bellegarde

    Zoom sur le fort de Bellegarde, à presque 10 km de là.

     

    Refuge

    Le refuge des randonneurs.

     

    Séchage

    D'autres randonneurs ont, comme moi, profité du palier couvert pour faire sécher ses affaires.

     

    La chambre

    4 randonneurs ce soir-là, chacun sa chambre, c'est donc très tranquille. Comme mes autres randonneurs croisés, mes camarades font la traversée des Pyrénées d'est en ouest, en empruntant souvent le HRP. Moi, je reste fidèle au GR (quoique).


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  • Distance approximative (km) 24
    Altitude de départ (m) 938
    Altitude d'arrivée (m) 0
    Point culminant (m) 1250
    Dénivelé positif total (m) 610
    Durée estimée 7 h
    Durée réelle (pauses incluses) 10 h

    Dernière étape, la plus longue, mais la plus belle. J'ai choisi de finir sur Collioure (soit 1 heure de marche supplémentaire, découvert sur place), avec 5 heures de marche de crête (les montées-descentes, visible sur le graphique ci-dessous, c'est bien casse-pattes), et 4 heures de longue descente (1000m de dénivelé).

    Profil

    Le graphique est agrandi en cliquant dessus.

     

    Parcours

    Le chemin de crête suit la frontière, la descente finale est intégralement en France. Et, au lieu de partir à l'est vers Banyuls, j'ai bifurqué au nord vers Collioure (image agrandie en cliquant dessus).

     

    Parcours de crête

    Vu comme ça (profil agrandi en cliquant dessus), ça a l'air simple. Mais en vrai...

     

    Départ de refuge

    Comme chaque jour, le soleil m'accompagnera toute la matinée, avant que les nuages n'arrivent en après-midi. Mais pour la première fois, je n'aurai aucune goutte de pluie.

    Pour bien se mettre en jambe, il y a cette montée raide, au milieu des pins, dès le départ du refuge. Il faut dire aussi qu'il faut rejoindre le pic Neulos, soit 300 mètres de dénivelé positif.

     

    Arrivée sur les crêtes

    La récompense de cette rude montée ? L'arrivée sur les alpages de la crête (panorama agrandi en cliquant dessus).

     

    Nuages

    Au-delà de cette barrière, voilà l'Espagne.

     

    Au pic Neulos

    A l'approche du pic Neulos, point culminant de l'étape, une dernière grimpette.

     

    Petite visite

    En haut, un veau attend patiemment que l'espace soit libre.

     

    En haut du pic Neulos

    Mais surtout, il y a une vue incomparable sur la Méditerranée et la plaine du Roussillon.

     

    Dans la descente

    Derrière, une descente rapide (le balisage est fait sur des bornes, rigolo).

     

    Abri de Tagnarède

    Ce qui permet de rejoindre l'abri de Tagnarède, un peu moins de 2 heures après le départ du col de l'Ouillat.

     

    A l'intérieur

    Certes, c'est un lieu non gardé, mais relativement bien équipé (avec une fontaine à 5 minutes).

     

    Sentier en forêt

    Mais il me faut repartir.

    Et c'est le départ des montagnes russes, la succession de montées et descentes.

    Chaîne de l'Albère

    Me voici par exemple au col del Faig, avec vue sur le pic de Neulos et ses antennes .

     

    Depuis le col del Faig

    A l'approche du pic des Quatre Termes, je vois les derniers sommets (à gauche le pic de Sailfort). (Image agrandie en cliquant dessus)

     

    Panorama du pic des Quatre Termes

    Arrivée au pic des Quatre Termes (et 4 heures de marche), je me repose. La Méditerranée, en tout cas, s'approche (image agrandie en cliquant dessus).

     

    Dernières crêtes

    La descente du pic, avec vue sur le chemin qui me mènera au pic Sailfort.

     

    Banyuls-sur-Mer

    Pic atteint après plus de 5 heures de marche. Je suis crevé, mais l'objectif apparaît : Banyuls ! Certes je n'irai pas jusque là,mais je vois la fin du périple. Je peux alors me mettre à l'abri du vent, pour déjeuner tranquillement. A noter que le pique-nique pris au refuge de l'Albère contenait beaucoup de pommes (fruit, barre de céréales, compote).


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